
Soixante-dix-neuf, année « space-ifique ». Si dans l’espace il paraît que personne ne vous entend crier, le vide sidéral n’aura jamais été autant peuplé en cette année 1979. Les étoiles sur les toiles n’auront jamais été aussi scintillantes et les stars se précipitent aux portillons des navettes en tous genres pour des voyages rarement au bout de l’ennui. James Bond ne ratera pas le coche de l’histoire de ce temps tentant où seule la démesure est à sa mesure.
Par Marie-France VIENNE
Star Trek, Star Wars, Le Trou Noir, Alien, Battelstar Galactica, Meteor avec … Sean Connery, tiennent le haut de l’affiche et il est impensable pour Cubby Broccoli de laisser 007 sur la terre ferme quand l’actualité se bouscule à des milliers de kilomètres au-dessus de nos têtes.
L’espion qui m’aimait fut un succès planétaire qui a installé Roger Moore au faîte de sa gloire bondienne. Son nom est désormais automatiquement associé à celui de l’agent le moins discret de Sa Majesté. Son élégance, son humour, ses mimiques et répliques bien balancées l’ont rendu populaire aux yeux du grand public.
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